Amour, acide et noix et Malaise dans la civilisation en vedette
Malaise dans la civilisation, au Perelman Performing Arts Center (PAC NYC).
Malaise dans la civilisation est une première collaboration entre l’auteur dramatique Étienne Lepage et la metteuse en scène Alix Dufresne, alliant leurs univers respectifs dans un partage organique d’écriture scénique et de mise en scène.
Un succès international
Présentée pour la première fois au Théâtre Prospero dans le cadre du Festival TransAmériques (FTA) en 2022, Malaise dans la civilisation poursuit son aventure.
Sa représentation à New York au Perelman Performing Arts Center (PAC NYC) de New York constituera sa onzième escale internationale.
« Entre gravité et bouffonnerie, les comédien.nes exultent, s’impliquent à fond physiquement et leur capital comique s’achève en apothéose, dans une finale qui provoque la stupéfaction et l’hilarité de la salle. »
– Sceneweb.fr, Avignon, 12 juin 2024
Du 13 au 22 mars 2025
Amour, acide et noix, au NYU Skirball
Quatre corps donnés à la danse révèlent ce qui se love derrière la peau étrangement opaque: le muscle, l’eau, le souffle, l’énergie, un état d’être à la vie, terriblement vivant et attentif à l’autre, malgré tout ou à cause du besoin de n’être pas complètement seul. Amour, acide et noix dit la solitude, mais aussi et surtout l’infinie tendresse du toucher, la dureté de la vie et le désir d’élévation ou d’évasion de ce corps parfois si lourd. Amour, acide et noix offre la nudité comme seule alternative à une lecture du corps, sans fard, ni fausse pudeur. La peau n’est-elle pas le véritable costume du corps?
Un retour attendu
Créée en 2001 par Daniel Léveillé, chorégraphe et fondateur de DLD, cette œuvre intemporelle a été reprise en mars 2024 à l’Agora.
Interprétée par une nouvelle génération de danseurs canadiens et italiens, elle revient au Skirball plus de 20 ans après sa première présentation à New York, en avril 2003.
« Tout ceci est aussi perturbant que convaincant. Daniel Léveillé ne se contente pas de présenter à des spectateurs passifs un monde de personnes nues; il nous contraint à intervenir en confrontant nos propres tabous et nos désirs. »
– The Village Voice, New York, avril 2003