Catalogue complet des oeuvres de la compagnie DLD et de ses créatrices et créateurs associé·e·s
Série B 2024
Lancée en 2016 par DLD, Série B est une programmation de danse contemporaine et de ses formes hybrides, présentée en marge de la Biennale CINARS.
Le vent se lève
ParManuel Roque
«le vent se lève» est une pièce dont l’intention première est d’observer le passage de l’inertie au Momentum à travers une optique lumineuse, joyeuse. L’utilisation de motifs répétitifs s’articule dans une visée libératrice.
ODE
Une procession pop-païenne à 10 interprètes main dans la main telle une ribambelle. Leur félicité est divine. On voudrait se fondre à leur idylle, goûter au même soleil …
Malaise dans la civilisation
ParÉtienne LepageAlix Dufresne
Des promeneurs débarquent dans un théâtre sans se soucier du décorum.
Amour, acide et noix
Amour, acide et noix est la première oeuvre d’une trilogie dans laquelle la vie organique se lit à même la peau de danseur·euse·s soumis·es à d’impossibles exigences physiques.
SIERRANEVADA
ParManuel Roque
Naviguant entre contrôle et lâcher prise, SIERRANEVADA n’est ni plus ni moins qu’un exercice, une pratique laboratoire, où l’interprète/ créateur s’efforce d’explorer les méandres de son imaginaire.
Tout se pète la gueule, chérie
Insolite quatuor masculin qui traite avec grande franchise du désarroi de l’homme cis nord-américain, de son ridicule, sa bêtise, sa vanité, sa trop grande violence, mais aussi de sa vulnérabilité, de sa confusion et de son aspiration à devenir meilleur.
Hidden Paradise
ParAlix Dufresne + Marc Béland
Alix Dufresne et Marc Béland se révoltent contre l’évasion fiscale dans une chorégraphie virulente et ludique.
Fear and Greed
Frédérick Gravel revient sur scène, en solo pour la première fois. Avec sa danse singulière, sa guitare et accompagné de trois musiciens.
Les jolies choses
Grand Prix de la danse de Montréal 2022, la chorégraphe Catherine Gaudet met en mouvement cinq corps qui s’activent au rythme du métronome.
Se dissoudre
Lentement, se dissoudre. Non pas disparaître, mais s’additionner, se multiplier, s’amalgamer. Comme le sucre dans un thé.
bang bang
ParManuel Roque
Etude dans l’air du temps sur le dépassement de soi, « bang bang » est un objet scénique pour soliste kamikaze qui tourne autour de la notion de résistance.
Lay Hold to the Softest Throat
ParEllen Furey
Invitation dans un espace vibratoire à la fois doux et rugueux, Lay Hold to the Softest Throat chante, danse, joue et navigue du spirituel au trivial.
Gravel (re)Works
ParFrédérick GravelJean-Christophe Yacono (YAKO)
Un album vidéo chorégraphique engageant une relation intime entre la caméra et le corps dansant.
Speed glue
ParDorian Nuskin-Oder + Simon Grenier-Poirier
Une partition chorégraphique entre deux pongistes de haut niveau. Le spectateur, libéré de toutes attentes compétitives, savoure ce ballet inusité de sportifs aguerris. Tout le monde y gagne.
Tête-à-tête
Deux visages se combinent pour en créer un troisième. L’illusion d’être pénétré, habité par un corps étranger.
This duet that we’ve already done (so many times)
Moment rare et précieux qui ne cesse de surprendre et de déstabiliser par son apparente désinvolture, cette création se révèle pétrie d’humanité et de vulnérabilité.
Some Hope for the Bastards
À nouveau accompagné de sa « GAnG » de danseurs et musiciens, Frédérick Gravel investit la scène avec un concert chorégraphique à l’énergie franchement corrosive.
Ainsi parlait…
Étienne Lepage et le chorégraphe Frédérick Gravel engendrent un spectacle pop, baveux, diablement sexy.
Usually beauty fails
Une œuvre tonique et charnelle qui érige le conflit en art et porte les imperfections du vrai au rang des esthétiques les plus efficaces.
Gravel Works
Pièce en bande de Mœbius qui fait voyager le spectateur entre le dedans et le dehors du spectacle, ou, comme le propose Gravel lui-même, entre la tête, le cœur et le sexe. Dans l’ordre qui vous convient!
Logique du pire
Le spectacle met en scène cinq interprètes venus déployer la notion du pire devant le public.
High Bed Lower Castle
ParEllen Furey + Malik Nashad Sharpe
Un vrai faux conte de grands lits et de petits châteaux où s’entremêlent personnages archétypaux, danses, verbe et chant.
L’affadissement du merveilleux
Tournoiement de récurrences incessantes, de naissances, de morts et de renaissances, L’affadissement du merveilleux est une tentative vertigineuse de dépeindre ce qui nous dépasse, portée par cinq danseurs.
Au sein des plus raides vertus
Au sein des plus raides vertus est une petite fenêtre ouverte sur le séjour grandiose et tragique de l’humanité, suspendu quelque part entre quête et perte de foi.
Tout ce qui va revient
Tout ce qui va revient est un amalgame de trois solos, interprétés par trois femmes d’envergure; Louise Bédard, Sarah Dell’Ava et Clara Furey
SOFTLAMP.autonomies
ParEllen Furey + Malik Nashad Sharpe
Construit à partir du désir d’incarner des notions non-encore-existantes et non-encore-actualisables de solidarité à travers les frontières, cet objet interroge ce qui bouge, rêve et aspire à des conceptions reconfigurées et indéterminées de l’autonomie personnelle.
Quatuor tristesse
Sur une scène dépouillée, les danseurs s’élèvent, fiers, fragiles et lumineux comme le marbre. Par-delà les étreintes persistent la solitude des êtres et leur rêverie nimbée de tristesse.
Solitudes duo
Gros plans sur le couple. Masculins, féminins, mixtes, les duos se succèdent. Identités à fondre ou à défendre dans la blancheur immaculée d’un espace limité.
Solitudes solo
Sous le masque impénétrable de chaque soliste transpire une tendresse qui sourdement s’impose.
Crépuscule des océans
Malgré cette « chronique d’une mort annoncée », demeure la beauté d’un crépuscule sur quelques sonates pour piano de Beethoven, fragments d’une humanité en perdition.
La pudeur des icebergs
Avec cette oeuvre épurée, Daniel Léveillé creuse encore plus profondément le seul et même sillon : la dure confrontation du corps face au corps de l’autre, les mystérieuses relations des corps dans l’espace, le tracé, l’élan et la chute inexorable du mouvement.
Le Sacre du printemps
La rencontre de quatre corps qui ne se touchent jamais, la répétition incessante et insistante de leurs gestes, et le martèlement des pianos de la bande sonore, sont autant d’éléments qui évoquent le chaos d’un sacrifice humain.
Corps noir
Stéphane Gladyszewski devient la matière même et crée un autoportrait éclaté basé sur la complexité d’une identité étoilée et les constructions phantasmatiques de la psyché.
Chaleur Humaine
Deux corps nus, une caméra thermique, un projecteur vidéo, des casques d’écoute et quelques secrètes manipulations. Voilà comment Stéphane Gladyszewski nous attrape par les sens et nous conduit au creux de l’alcôve.
Phos
Pour cette oeuvre, la lumière et le mouvement de la mémoire deviennent ses matériaux de base avec l’impermanence comme toile de fond.
In side & Aura
Au croisement des arts visuels et de la performance, In Side & Aura se présentent comme des oeuvres expérientielles et sensuelles qui établissent un dialogue tendu et vibrant entre corps, matière et lumière.
Voyage au centre de la scène
Sous forme de lecture-conférence, Voyage au centre de la scène est une porte qui s’entrouvre au coeur de l’écriture théâtrale.